[Lees hier de oorspronkelijke Nederlandse tekst.]
En juillet, à la demande d’une confrère de Flandre occidentale, nous avons traduit une brochure qui traitait de bijoux. Cette collègue était à la recherche d’un traducteur anglais – néerlandais. Après s’être renseignée et avoir passé quelques coups de fil, elle s’est adressée à nous. Ce travail, Déesse l’a volontiers accepté : les vacances d’été allant généralement de pair avec un planning peu chargé. Aussi tout travail supplémentaire est-il le bienvenu.
Sarah se chargerait de la traduction et moi de la révision. À la relecture du travail effectué, je réalisais une fois de plus que la traduction est une discipline à part. Quand bien même un thème peut paraître extrêmement banal (à peu près tout le monde porte des bijoux !), le texte qui en parle peut quant à lui s’avérer bigrement compliqué à traduire.
Personne n’a toutes les spécialisations
Parfois je reçois des courriels de sollicitation de traducteurs et/ou d’interprètes qui prétendent avoir une dizaine de spécialisations. Il arrive aussi que je reçoive de tels courriels de la part d’escrocs, mais cela, je l’ai déjà raconté dans un autre blog (disponible en néerlandais uniquement). Il va de soi qu’il doit être particulièrement difficile d’être spécialisé dans dix domaines différents, même après trente ans de carrière. Si au cours des années, vous avez eu l’occasion de traduire un texte sur les chariots élévateurs, cela ne fait pas de vous un spécialiste de ce type de machines !
Ce point faible pour de nombreux traducteurs, interprètes et agences de traduction, est précisément le point fort de Déesse : nous connaissons nos limites. Nous savons quelles compétences et spécialisations nous maîtrisons en interne : des textes de marketing concernant la mode, les bijoux et accessoires, des traductions à caractère juridique (destinées à la Belgique), l’interprétation de réunions syndicales. Voilà ce qui fait notre force en interne. Mais pas dans n’importe quelle combinaison de langues, cela va de soi.
À chacun ses thèmes
Pour les thèmes et combinaisons de langues qui n’entrent pas dans nos aptitudes internes, nous faisons appel à des traducteurs et interprètes free-lances qui s’en chargent mieux que nous. Parce que chez Déesse, nous sommes seulement satisfaits si nous délivrons de bons textes, et si notre travail d’interprétation est discret, efficace et pertinent.
Vous le remarquez, vous, en tant que client ? Non. Vous nous contactez, Sarah ou moi ; le reste se déroule en coulisse. Il se peut que nous réalisions le travail nous-mêmes. Il est possible aussi que nous fassions appel à un free-lance pour nous donner un coup de main.
Ce qui nous importe, est :
– que vous puissiez vous adresser à une seule personne (par ailleurs bien sympathique) pour tous vos travaux de traduction et d’interprétation ;
– que cette personne vous apporte ses conseils ;
– que vous puissiez compter sur un service optimal.
Nous sommes tous les jours en contact avec différents free-lances (par exemple par le biais de GentVertaalt, un réseau flamand informel de traducteurs et d’interprètes, dont Sébastien est le cofondateur) qui possèdent différents domaines d’expertise et qui proposent leurs propres combinaisons de langues. Déesse sait parfaitement à qui confier quelle mission ; à la grande satisfaction de nos clients.
Mise à jour :
Entre-temps, avec l’expérience, et plus récemment avec l’arrivée de Marc dans notre équipe, notre champ thématique s’est élargi. Nous ne craignons pas les traductions qui portent sur des sujets tels que le management d’entreprise ou l’automobile.